• Suite à nos articles sur la sexualité chez les adolescents, on m'a passé le lien d'un autre article, sur la masturbation féminine et c'est vrai qu'on en a pas parlé, alors je vous invite à le lire !

    passez par ici ;)

     

    Kézia

     


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  •  

    Bien le bonjour ^^

    Suite à mon article d'hier, et mes écrits toujours bien sombres, j'ai décidé de vous montrer deux de mes vernis tout cons et que j'adore :') Vous auriez pu le trouver toutes seules, je sais xD

    Je me concentre ici sur deux moyens de porter un vernis rose/rouge sans que cela gêne pour les plus timides ou autre ;) Je sais, personnellement, avoir beaucoup de mal à porter un vernis se rapprochant trop du rouge ^^

     

    N°1 : rouge + craquelé bleu nuit

    Pour ce vernis certainement pas spectaculaire, j'ai utilisé le vernis rose/rouge mini b. 16HN1L par : "LE CLUB DES CREATEURS DE BEAUTE". J'en ai tout d'abord appliqué une couche, et j'ai attendu le temps que tout sèche bien. Puis j'y ai ajouté le vernis craquelé bleu de chez Claire's. J'applique le vernis bleu sur l'ensemble de l'ongle, et je vois peu à peu le vernis se craqueler et se rétracter. Ne craignez rien, c'est juste le miracle de la vie ! ^^

     

    Et voici le résultat :

     

    craquelé bleu + rouge/rose

    craquelé bleu + rouge/rose

     

     

    N°2 : vernis rose/rouge + traits argentés.

    Pour ce deuxième vernis, je commence par appliquer le vernis trop rouge à mon goût Berangé Make up Paris sur l'ensemble de l'ongle. J'attends ensuite que le tout sèche ! Toutefois, ce vernis met énormément de temps à sécher, c'est pourquoi je préfère le vernis rose/rouge ont je vous ai parlé plus haut. Lorsqu'ENFIN le vernis a séché, j'utilise le vernis B.MIROIR de Mini b, et je laisse parler mon imagination ! Personnellement, j'ai opté pour des traits désorganisés, de façon à ne pas avoir de résultat figé, ou trop commun ni trop extravagant.

     

    Le résultat que j'ai pu obtenir :

     

    Juste une touche d'imagination :3

     

     

     

     Et c'est article est déjà terminé, c'était juste histoire de vous montrer une autre facette de ma personnalité, et vous prouver que malgré mes textes sombres je suis vivante et pleine d'énergie !

    Promis, si un deuxième article du genre a lieu, il sera plus travaillé :')

     

     Charlène


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  • Je vous propose cette petite blague pour enjoliver votre journée !

    Deux frères discutent:

    -Ce soir on mangent des lasagnes!

    -C'est faux

    -C'est vraie

    -T'es sérieux?!

    -C'est vraie que c'est faux!

     

    Donc voila vous pouvez le dire j'ai un humour débile mais bon !

     

     

    Kézia


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  • Ce n'est ni un poème ni une poésie, c'est un cri du cœur évoquant ma situation actuelle...

    A ma cousine. Si tu lis ceci, saches que je t'aime malgré tout, mais que plus rien ne sera possible entre nous. Tu as été ma guide, mon alliée, aujourd'hui tu me détruis sans même en avoir conscience. Je suis égoïste. Je veux vivre. J'aurais dû t'aider. Je n'ai rien fait. C'est trop tard, désormais.

     

    Je ne veux plus faire attention à moi.

    Je ne veux plus m'écouter.

    Je ne veux plus m'apprécier.

    Je ne veux plus de moi,

    Car si tu en es là c'est uniquement à cause de moi.

    Je t'ai laissée

    Comme tu m'as abandonnée,

    Sauf que moi je souris encore

    Et que bientôt ton sourire sera mort.

    Tu ne te suicideras pas,

    Tu as bien trop de fierté pour ça.

    Tu préfères t'affamer

    Et comme ça me tuer.

    Je ne voulais pas ça,

    Je ne sais même pas pourquoi

    Tu ne manges pas

    Alors que je suis plus grosse que toi.

    Je m'en veux, tu sais,

    J'aurais dû réagir, tu sais,

    Mais tu sais aussi que je t'en voulais

    Et que toujours je t'en voudrai.

    Je n'arrive pas à pardonner,

    Je ne sais pas oublier,

    Ni effacer,

    J'ai même du mal à pleurer

    En pensant à tes os saillant.

    Est-ce que personne ne t'entend?

    Si. Tout le monde sait,

    Mais tu rêves d'artifices,

    On ne peut rien pour toi.

    Je sais qu'on ne peut rien,

    Néanmoins je voudrais encore pouvoir serrer ta main

    Sans risquer de voir tes os se briser.

    Je t'ai aimée,

    Et je sais que l'inverse est vrai,

    Mais je ne peux plus,

    Je suis lâche, tu sais.

    Alors je t'abandonne

    Comme tu m'as abandonnée autrefois.

    Tu ne me connais pas si bien que ça,

    Car tu ne sais pas combien j'ai souffert et combien je souffre encore.

    J'aurais aimé une vie en or,

    Mais au grand loto de l'Univers,

    Je n'ai pas su tiré le bon numéro, moi non plus...

    Alors je m'efforce de cacher ma douleur,

    De taire mes pleurs.

    Les autres ne comprennent pas

    Pourquoi je m'attache autant à toi.

    Il ne savent pas que tu as été mon amie, mon alliée,

    Et que dorénavant tout est terminé.

    Je ne veux pas me séparer...

    On me dit souvent :

    "Laisse là,

    Personne n'a jamais rien pu pour elle.

    Cette fille qui ne mange pas,

    Un jour volera de ses propres ailes."

    Ils ne savent pas ce que les ailes représentent pour moi...

    Dans ma vie souvent on m'a laissée de côté,

    Aujourd'hui c'est à moi de me préserver,

    Mais saches au moins que je suis désolée...

    Je ne peux rien,

    Tu refuses ma main,

    Alors dans les ténèbres tu vas t'enfoncer,

    Et moi, dans la vie je vais monter.

    On se reverra, toutefois nos échanges auront alors la saveur amère de la trahison. Je suis lâche. Je dois vivre."

     

    Charlène


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  • Bien le bonjour :D

    Oui, le temps, le temps... Il file, le temps ! Et les articles deviennent plus rares en raison des travaux scolaires. Mais nous sommes encore là !

    D'après les résultats du dernier sondage, je dois notamment vous remercier pour vos votes ! notre thème de la semaine est ... le sexe prématuré chez adolescents ! Cet article sera long, autant vous prévenir tout de suite :') Il sera divisé en 6 parties : la sexualité représenté dans la société, la prévention, l'image de la sexualité dans les médias, quand est-on prêt?, les risques, et enfin ... lorsque tout est prêt.

     

     La sexualité... Un sujet bien tabou. Pourtant, le sexe est partout, tout le temps, que se soit pour les enfants où les adultes. Petites, toutes les filles ou presque veulent des poupées ! Un jouet innocent, me direz-vous. Eh bien non ! Avez-vous déjà remarqué les courbes de ces filles, leur bouche pulpeuse, leur perfection tout simplement? Outre créer des complexes bien plus tard, ces barbies donnent une fausse image de la féminité de notre époque. Certaines jeunes filles cherchent à tous prix à leur ressembler, par tous les moyens... ou pire, tentent de s'habiller comme elles. Elles ne savent pas, alors, que le regard que leur portent les hommes en sont changés. Les poupées donnent une image aguicheuse de la femme, l'impression que l'apparence est seule maître en ce monde. Inconsciemment, très jeunes, les filles sont donc inaugurées à la sexualité. Toutefois ce phénomène peut également toucher les garçons, bien que les supports utilisés sont plutôt destinés aux filles. Les dessins animés contant les histoires de princesse qui attendent le princes charmants sont nombreux... Et la plupart se finissent par cette phrase : "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants." Vivre heureux ; je suis d'accord, cela vend du rêve. Mais "eurent beaucoup d'enfants"?! Les enfants voient donc un avenir empli de leur propre progéniture, comme si c'était un devoir, ou l'assurance d'une vie harmonieuse. Et que se cache-t-il derrière les enfants...? La sexualité, bien évidemment. C'est sans doute pendant cette période que les fameux "Comment on fait des bébés?" apparaissent. En outre, les publicités devraient être mieux répartis dans la journée. Si les directeurs de grandes chaînes s'arrangent généralement pour passer des publicités pour les lubrifiants et préservatifs tard dans la soirée, cela n'est pas toujours le cas. A 20h, les enfants sont généralement devant la télévision, et il arrive que certaines de ces publicités soient diffusées en même temps. N'en comprenant pas l'utilisation, ils s'empressent alors de poser la question aux parents. Les enfants ne sont pas si bêtes ; s'ils voient que le sujet est difficile, ce dernier restera gravé dans leur mémoire. Et que dire des films, interdit aux moins de 10, 12 ou 16 ans? Plus on interdit une chose à un enfant, plus celui-ci voudra cette chose-ci. Si un garçon de 9 ans et demi regarde un film interdit au moins de 10 ans, aucune conséquence. Toutefois, si c'est un enfant de 5,6 ans qui se risque aux films interdits au moins de 12 ans, les conséquences sur son inconscient peuvent être difficiles : cauchemars, début de paranoïa dans la rue notamment... et incompréhension. Si ces films sont interdits à une certaine tranche d'âge, cela peut-être pour la violence ou le sexe. Les enfants ne sont pas assez responsables pour respecter exactement les recommandations sur l'âge des films, c'est pour quoi les parents doivent intervenir. Très jeunes donc, les enfants sont inaugurés à la sexualité par les publicités, les jouets ainsi que par certains films bien qu'ils leur soient interdits. Notre société incite déjà les enfants à la sexualité afin de ressembler à leurs princesses ou leurs barbies préférées.

     

    Toutefois, c'est à l'adolescence que les parents commencent à paniquer. C'est à cette période que la prévention est également mise en place, dans les écoles par exemple. En primaire, lorsque j'étais en CM2, je me souviens que ma classe a eu plusieurs interventions sur le problème de la contraception. Dans un sens, cela est extrêmement encourageant de voir un public si jeune déjà au courant de cette contraception. De l'autre, lorsque l'on est en CM2, on ne pense pas encore à ce genre de chose. Alors qu'en sixième, les adolescents évoluent, commencent pour quelques uns à se poser des questions sur la sexualité, et qu'aucune intervention est prévue à ce niveau ! Il serait préférable de déplacer les interventions sur le thème de la sexualité de la primaire à la première année de collège. De plus, en quatrième, des cours d'éducation sexuelle sont obligations en SVT, en abordant le sujet de la reproduction. Je vois ceci d'un très bon œil, et estime ces cours nécessaires. En outre, les parents préfèrent aborder le thème de la sexualité avec leur enfant lorsque ceux-ci se trouvent au collège ou au lycée. Si ces discussions peuvent être très gênantes, elles peuvent également s'avérer fondamentales pour l'adolescent. Les parents sont en effet passés par ce cap auparavant, et connaissent bien les tourments que cause une première fois. Il est important d'écouter, d'apprendre et surtout de comprendre. Les parents resteront toujours de grands adolescents. Cependant certains n'osent pas aborder ce sujet, et peuvent par exemple demander à un oncle, une tante ou un grand parent de faire ce travail à leur place. C'est lâche. Certes, les enfants seront ainsi plus libres d'expression, toutefois l'approbation et l'avis d'une mère ou d'un père est bien plus important à leurs yeux que celles de famille plus éloignée. Toutes ces mesures de prévention sont mises en place dans le seul but d'inciter les adolescents à attendre encore un peu pour ce moment, qu'on pourrait qualifier d'"unique". En plus d'être en total opposition avec la sexualité présentée dans le monde de l'enfance, le but de cette prévention contraste également avec l'image de la sexualité dans les médias...

     

    Les séries TV voient souvent évoluer les personnages, les voient grandir... A l'image de l'héroïne de Clem, devenue maman à a peine 16 ans. Bien que cet évènement se soit produit au tout début de la série, beaucoup de jeunes filles se sont retrouvées dans le caractère énergique de la jeune fille. Selon moi, l'image véhiculée par la série est à la fois une image d'espoir, car la jeune maman parvient tant bien que mal à s'en sortir, sa vie ne s'arrête pas et surtout elle ne regrette pas, mais aussi une image péjorative, pouvant inciter les adolescentes à suivre son chemin. Si, à 16 ans, on ne possède ni argent ni maturité, autant avorter. Mais si, à 16 ans, on possède déjà une grande maturité et quelques économies... Qu'on assume les conséquences de ses actes. Les films évoquant la première fois sont nombreux également, toutefois le lien entre personnages et spectateurs n'est pas le même, il est moins profond, mais plus travaillé. Le film Ma première fois retrace en effet la première fois d'une jeune adolescente, pour changer... Et les premières fois des hommes dans tout ça? En bref, ce film pour adolescentes en mal d'amour montre la première fois comme un cadeau, que le personnage principal offre à son unique amour. En oubliant le côté "gnangnan", ce film a au moins raison sur une chose : Une première fois est une chose unique, qui ne revient certainement pas à tout le monde. Il faut être bien sûr de l'heureux élu, lui vouer une confiance absolue. Ce film transmet donc, selon moi, une image plutôt réaliste de la première fois, avec les craintes qui y sont associées. Le célèbre roman de Stephenie Meyer Twilight garde la même image que le film Ma première fois. Que pouvons-nous en conclure? Les médias peuvent diffuser une image très vraie concernant la sexualité, comme présentée la première fois comme "dérisoire" ou lui accorder peu d'importance. Les adolescents sont vite perdus au milieu de tous ces avis divergents... On veut les inciter à attendre mais aussi à expédier leur première fois pour se retrouver dans des personnages. A l'heure où les adolescents cherchent de plus en plus une image, un personnage auquel s'identifier, c'est inadmissible.

     

     Quand faire enfin sa première fois? Personnellement, je pense qu'aucun âge minimum n'est requis. Que vous ayez 14, ou 20 ans, les craintes sont les mêmes, les espoirs aussi. On se lance quand on se sent tout à fait prêt, lorsqu'on est alaise avec son corps, son esprit, quand on aime surtout, qu'on fait confiance, qu'on a été informé. Je pense cependant qu'une "préparation" est primordiale entre les deux amoureux. Posez-vous, discutez en tranquillement... Si l'élu de votre cœur vous aime, vous ne passerez pas pour un pervers. Il est tout de même préférable d'être en couple depuis, selon moi, six mois minimum. Il faut également être certain de ne pas éprouver de regrets après cela, car comme toujours il sera impossible de revenir en arrière. Vous devez donc, presque obligatoirement, en parler avant de passer à l'acte.

     

    Bien sûr, les relations sexuelles conservent des risques, des "et si...?". Et si vous attrapiez une MST, comme le SIDA ou la Syphilis? Il faut se protéger : le préservatif est le meilleur moyen de contraception. Il est conseillé de le garder même pour les fellations, car les MST peuvent être transmises lors de cette pratique. Et si vous ou votre copine tombait enceinte? Les grossesses à 14 ou 16 ans ne sont pas courantes, mais existent bel-et-bien. Autant se protéger si avoir un enfant ne vous tente pas. Encore une fois, le préservatif est un le meilleur moyen contraceptif ! S'il craquait pendant l'acte? Eh bien... Espérez très fort, et attendez. Si par malheur un test de grossesse s'avérait positif, parlez en à vos tuteurs, et ce même si ce n'est pas évident. Vos parents ont bien dû avoir des relations sexuelles pour vous mettre au monde, et ils ont été adolescents. Ils comprendront dans le meilleur des cas, et dans le pire... Vous aurez assumer, vous vous serez comporter en adulte, vous resterez fier de votre personne. C'est de mon point de vue la chose à faire en cas de grossesse involontaire. Assumer, et seulement assumer. Les hommes n'ont pas à fuir comme des lâches, car les femmes, elles, ne le peuvent pas. Vous vous êtes jurés de rester ensembles pour le plus beau et le pire ; c'est le moment de le prouver. Si cela ne vous suffit pas, pensez à l'enfant qui grandira sans père. Qui se demandera chaque jour pourquoi on n'a pas voulu de lui. Cette absence qui le rongera chaque jour. Les larmes, le mal être, tout ça par votre faute. N'Est-ce pas une bonne raison de rester? Dernière question qui taraude les adolescents : Et si vos parents le découvraient? Eh bien quoi? Certes, il est préférable qu'ils ne le découvrent pas. Mais les lecteurs sont des gens intelligents, ils sauront trouver des techniques presque infaillibles pour que rien ne se remarque. Si non... Assumez encore, expliquez leur que vous étiez prêts, que vous vous étiez préparés, que vous ne regrettez pas, que vous aimez réellement la personne qui vous a pris votre première fois. Cela mettra sans doute du temps, mais ils comprendront. Un adolescent a énormément de peurs concernant sa première fois. Le seul moyen de les résoudre, c'est au fond de connaître ce qu'ils redoutent tant... Lorsqu'ils se sentent prêts et matures.

     

    Si vous êtes prêts? Si vous en avez discutez avant, avec vos parents et votre copain ou copine? Si vous êtes à l'aise avec vous même? Si vous aviez conscience des risques? Si vous vouez une confiance absolu à l'élu de votre cœur? Alors foncez, pour des relations consentantes bien sûr.

     

    Voili voilou, c'est tout pour aujourd'hui ! Un sondage sera très bientôt en ligne pour déterminer le prochain sujet ;)

    Merci d'avoir lu jusqu'au bout !

     

    Charlène


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  • Tout d'abord veuillez m'excuser du retard... L'article était prêt il y a quelques temps déjà mais j'étais malheureusement dans l’impossibilité de le publier !

    Donc notre thème est les ados et le sexe.. vaste sujet en effet et duquel, en temps qu'ado et que moi même (parce qu'être ado ne veux pas dire qu'on se sente concerné), je me sens concernée...

     

     

    C'est vrai qu'on est dans une société hyper sexuée je trouve, rien que dans les pubs entre les préservatifs et les gels lubrifiants (certains même en début de soirée)... Vous avez imaginez le nombre d'enfants ayant demander ce que c'était ? N'oublions pas que les enfants sont influencés par les pubs, c'est d'ailleurs le principe des pubs!

    A part ça on parle aussi beaucoup de l'âge, mais je pense qu'il y en a pas vraiment, ça dépend des personnes... Juste à 12ans non, tu peux pas être prêt à 12ans... tu sais pas vraiment ce que c'est et puis même c'est limite... Et les filles enceintes à 14ans c'est pareil! Désolé mais si il y a des capotes et des pilules c'est pas pour rien! Je ne parle pas des viols qu'on soit d'accord! Je parle de relations consentantes! Et vous qu'en pensez-vous? Devrait-il y avoir un âge? Je rappelle que la majorité sexuel en France est de 15ans et 3mois.

    Avec Charlène on en a beaucoup parlé et on était d'accord sur le fait que la première relation sexuelle était une sorte de "cadeau" (perso le terme cadeau me convient pas trop mais j'ai pas vraiment d'autres mots qui me viennent) qu'on n"'offrait" pas à n'importe qui et qu'il fallait avoir confiance en la personne et aussi il faut que ça soit un acte réfléchi, et il faut tout d'abord je pense en parler avec l'autre!

     

    Là je vais vous parler plus personnellement car je suis moi même dans cette période mais disons que oui et non... là n'est pas vraiment le sujet pour le moment!                                                   On a beau être dans une société très sexuée, le sexe reste tabou... Je sais que moi je me pose plein de questions parce que je pense que c'est quelque chose d'important dans la vie mais à part le traditionnel "comment on fait des bébés" et le "il faut se protéger" ou "tu me dirais hein?" on nous dit pas grand chose... personnellement ça me fait mine de rien flipper...  je pense qu'il devrait y avoir plus de communication entre les parents et les ados sur ça...  Même si c'est très délicat, je le sais tellement bien... Je pense que c'est le rôle des parents d'en parler, de demander comment l'ado se sent par rapport à ça, lui demander s'il a des questions, peut-être dire comment vous vous étiez à leurs âges, si vous vous posiez aussi des questions, et même peut-être dire ce que vos parents vous ont dit et faire part de votre expérience (sans évidement donner trop de détails, parce que ça ne se passera pas comme pour vous donc ça peut éventuellement causer un blocage chez l'ado).

    Après il y a une autre chose à aborder quand on parle de ce sujet (quand on se sent concerné),  c'est comment en parler quand par exemple on sort avec quelqu'un, et que c'est avec cette personne qu'on aimerait le faire... Donc je n'ai pas vraiment d'astuce miracle pour ne pas être stressé pour en parler, ni la manière d'aborder le truc ! Je sais à quel point c'est compliqué. On a peur de choquer l'autre s'il n'est pas prêt, de passer pour un pervers de service et de mal exprimer ce qu'on voulait dire... Pour commencer il faut être vraiment sûr d'être prêt, après connaître l'autre personne assez pour savoir si ça vaut la peine d'en parler pour le moment ou s'il est préférable d'attendre encore un peu après si vous n'arrivez pas a trouver les mots essayer de laisser des indices dans vos conversations, si l'autre personne se sent prête elle les remarquera surement, après ça dépend de votre caractère, je sais que j'ai un caractère trèès timide (ce qui est parfois trèèès chiant ^^) donc à vous de voir comment vous gérer le truc! Pour vous aidez 'humour' moi j'en ai aucune idée de comment en parler et ça me fais perdre tous mes moyens! (demander à Charlène ^^) Après pour ceux qui sont "à l'aise" avec leurs parents (et si vous savez que vos parents sont ouverts à ce genre de discussion) vous pouvez peut être leur demander conseil! A vous de voir!

    Si vous voyez des choses à rajouter ou à dire envoyez nous vos messages dans la rubrique contacte ou en commentaires.

     

     

    Kézia                                                            


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  •  

    Bien le bonjour ! ^^

    On se retrouve aujourd'hui pour un article un peu particulier, mais que j'estime nécessaire. Vous l'aurez compris, j'aborderai dans cet article la question du harcèlement, sous forme d'interview pour me faciliter la tâche. Je n'entrerai pas trop dans les détails pour le respect de la vie privée des personnes concernées.

    Cet article est un réconfort potentiel pour les victimes. Si je m'en suis sortie, fragile comme je suis et violent comme le harcèlement l'a été, vous survivrez aussi.

     

    A cet ange ♥ Je parle en effet souvent de lui, toutefois ce n'est pas quelque chose qu'on oublie.

     

    "Quels ont été les causes de ce harcèlement?

    Une histoire de jalousie et d'amitié.

    J'avais une meilleure amie, L., que j'ai gardé toute la primaire. Nous étions vraiment très proches, elle représentait beaucoup pour moi. Cependant, lorsque nous sommes entrées au collège, C., la meilleure amie de L. qui venait d'une autre école primaire nous a rejointes. Tout se passait bien, du moins au début ; mais très vite, je suis devenue "l'exclue de service". C'était toujours à moi de me retrouver seule lorsque des binômes étaient à faire. Cela m'a beaucoup agacée, surtout que je sentais que mes deux amies changeaient de comportement, que je n'étais plus que "la troisième". C'est à ce moment-ci que J., une fille solitaire que nous avions recueilli, a fait basculer la paix déjà fragile de notre petit groupe. Une ou deux conneries balancées sur mon compte, et hop ! la machine était lancée. J'étais bonne élève, elles se sont donc mises à me jalouser... puis à me harceler.

     

    Qui étaient alors les harceleurs?

    Mes amis. C'est ça, je pense, qui m'a fait le plus de mal. Cette fille, qui se disait ma meilleure amie, se révélait être le plus fin bourreau. J. et C., aussi, bien que je ne les connaisse pas aussi bien, m'ont énormément déçue pendant cette période.

     

    As-tu reçu du soutien durant ces heures sombres?

    Fort heureusement. Mon père étant proche du collège, il a pu avertir les CPE's de ce qui m'arrivait. Ceux-ci n'ont rien voulu faire. Ma mère est intervenue, a hurlé, menacé les filles qui me faisaient du mal. Cela à marcher un moment. Puis tout a empiré. Au final, ces actes n'ont servi à rien ; mais tout comme le principal est de participer, le principal est d'essayer.

    J'ai également recontré trois autres amis cette année là, de qui je suis devenue très proche. Elles n'ont pas levé le petit doigt. Peut-être ne se rendait-elle pas compte alors de ce que je vivais.

     

    Quelle sorte de harcèlement était-ce?

     

    Moral. Certains diront que le harcèlement moral n'est rien, mais détrompez-vous. Le harcèlement moral détruit peu à peu, fait perdre toute confiance en soi, nous dégoûte de nous-mêmes, nous réduit à néant. J'ai été traitée de tous les noms, toutefois ce n'est pas le pire : je recevais des appels masqués, des messages toutes les nuits. On m'insultait, on me menaçait, on me faisait surtout beaucoup pleurer. J'imaginais que le monde entier s'était ligué contre moi, alors que ce n'était que deux ou trois personnes. Au collège, ces filles me rabaissaient, me critiquaient, m'insultaient, me lançaient toutes sortes de projectiles, semaient le doute entre mes amis proches et moi, racontaient des c*nneries monstres aux gens de mon entourage, voire même ceux que je ne connaissais que de vue. J'étais trop fragile, à l'époque, pour comprendre que tout ceci est bien futile dans une vie. Cela m'a presque totalement détruite.

     

    Un évènement particulièrement marquant en rapport avec ce harcèlement?

     

    C'était au milieu de l'année de sixième, ma première année de harcèlement. Au mois de mars, je dirais. Un CPE était venu parler des problèmes au sein de notre classe. Je ne me souviens nullement de son long discours, seulement ces quelques mots : "On ne met pas quelqu'un en quarantaine, parce qu'il a fait ci ou ça. Qu'avez-vous fait, vous?". Et là, L., la principale harceleuse, s'est tournée vers moi, les yeux pleins de larmes, et a murmuré doucement, si doucement que j'ai juste pu lire sur ses lèvres : "Pardon."

    Le lendemain, tout recommençait.

     

    Comment tes parents ont-ils géré ce harcèlement? Leur en as-tu parlé?

     

    Je ne voulais absolument pas leur en parlé. Mais les parents ne sont pas débiles. Je rentrais chaque soir en pleurs. Ma mère a fini par me demander ce qui me faisait tant de peine. Comme je l'ai dit plus haut, mes parents ont essayé de me protéger. Je ne pourrai jamais assez les remercier pour cela.

    En quatrième, je n'en ai pas parlé. Mon père m'a vue un soir en larmes, et m'a jurée qu'il allait s'en occuper. Ses menaces n'ont eu aucun effet. Papa, merci à toi, et ce même si tes tentatives sont rester vaines. Voir quelqu'un essayer pour nous, c'est inestimable.

     

     Les conséquences du harcèlement sur le plan personnel?

     

    Le harcèlement m'a purement et simplement détruite. Je n'avais plus aucune confiance en moi, comme c'est toujours le cas, je pleurais chaque soir sans exception, j'étais méchante envers ma famille qui ne comprenait pas, j'avais peur de retourner en cours, en bref je n'étais plus rien. Je me suis beaucoup disputée avec tout le monde pour des choses anodines, j'ai eu énormément de rancœur, j'ai arrêté de pardonner, arrêté de faire confiance... Auparavant, je confiais ma vie à une seule et unique personne ; L.. Aujourd'hui, je m'arrange pour que personne ne connaisse tout à fait mes points faibles, mon malheur, mon passé... Ma vie. L. m'a fait bien trop de mal en ayant mon passé dans les mains. Je ne referai jamais la même erreur.

     

    Quelles ont été les conséquences du harcèlement sur le plan psychologique pendant que tu le vivais?

     

    J'étais très mal, très malheureuse. J'avais perpétuellement l'impression que tout le monde me regardait. Je me suis renfermée sur moi-même, ai refusé de parler à mes amis pendant des jours entiers, me suis crée des complexes que j'ai encore aujourd'hui. Je suis également tombée dans les sucreries en sixième... Toutes sortes de sucreries. Je me disais que si L. était aimée en étant grosse, je devais devenir plus grosse qu'elle encore pour être appréciée. Je précise que j'avais onze ans et que c'était totalement c*n ! En quatrième, j'ai continué ces sucreries mais plutôt par manque de quelque chose, par envie de me faire du mal, tout simplement. Alors que je pèse aujourd'hui une cinquantaine de kilos, j'ai l'impression d'en faire 80, tout comme j'en avais l'impression à l'époque du harcèlement.

     

     Comment t'en es-tu sortie?

     

    J'ai déménagé. Adieu les bourreaux (ou presque), adieu le collège et la mentalité de m*rde, adieu la douleur, les insultes et la peur. Je ne me suis plus jamais faite harcelée, et très rarement insultée. Ce déménagement m'a permis de prendre du recul sur mon vécu, de grandir, de voir la vie autrement. Certes, j'ai perdu mes amis ! Mais je suis encore jeune. Des amis, on en perd et on en trouve, suffit de savoir regarder autour de soi.

     

    Penses-tu que l'histoire aurait pu prendre une tournure plus sombre encore?

     

    Non. Je n'aurai jamais le courage de me mutiler ou pire, me suicider. Je suis lâche. J'aime la vie. C'est fourbe, une vie. Cela laisse espérer, être déçue, pour espérer encore... Mais derrière chaque déception se cache un espoir plus vif que le dernier, plus puissant que l'avant-dernier, plus vrai que le tout premier ! La vie, c'est triste, ça fait peur. Et c'est aussi la plus belle des douleurs. Je veux bien souffrir, du moment que je peux voir encore un lever de soleil, et la rosée du matin...

     

     Qu'est-ce qui t'a aidée à passer au travers?

     

    Les tentatives de mes parents, les sourires de mes amis, nos fous rires... et la vie.

     

    En France, un enfant sur dix est harcelé. Un enfant sur deux au collège et au lycée est harcelé. Un message pour toutes les victimes de harcèlement?

     

    Avez-vous vu comme la nuit est belle, ce soir...? Dégagée ou opaque, la nuit étend son voile..."

     

    Charlène.

    Pour raconter votre histoire sur le harcèlement ou tout autre sujet sensible, contactez-nous.


    2 commentaires
  • Bien le bonjour ! ^^

    Nous nous retrouvons aujourd'hui pour un article un peu particulier, encore sur le thème du harcèlement scolaire et de ses conséquences. Jelly Beans, aujourd'hui âgée de 14 ans, ( Son blog ) nous livre ici une interview à cœur ouvert, sans langue de bois, sans mensonge. Le vrai et rien que ça.

    Merci et bravo à elle d'avoir su trouver le courage de témoigner, dans cette société où le silence règne.

     

    "Quelles ont été les causes de ca harcèlement?

     J'ai emménagé en 2006-2007 dans un petit patelin un peu paumé et dans l'école primaire où j'étais, on devait être maximum 4 à avoir la paume métisse. Les 3 autres étaient des garçons, ils avaient les cheveux lisses ou frisés mais ils pouvaient les couper donc ça ne leur posait pas de problème. Tandis que moi, j'étais la seule fille et avec mes cheveux courts et frisés, j'avais compris d'avance que j'allais me faire remarquer. Et j'avais raison, puisque dès mon arrivée là-bas, j'ai reçu de petites piques. Faut les comprendre en même temps, ils n'ont pas l'habitude de voir des personnes à la peau colorée !

    Qui étaient alors les harceleurs?

     

    C'était des personnes avec qui j'étais en cours. Des élèves avec qui je ne traînais pas, d'autres que je n'aimais pas voir même des amis.

     

    As-tu reçu du soutien durant ces heures sombres?

     

    J'aurais aimé être soutenue, mais malheureusement non. Je n'en parlais à personne et mes amies ne se rendaient compte de rien, elles prenaient tout pour de la rigolade. Ce n'est qu'à partir du Ce2 que j'ai rencontré sur internet des personnes en or qui m'ont gardée debout.

     Quelle sorte de harcèlement était-ce?

     

    C'était du harcèlement oral. Beaucoup disent que le harcèlement oral est moins grave que le harcèlement physique, mais ils sont chacun au même niveau, on ne le ressent juste pas tous de la même façon. Celui que j'ai vécu m'a « bouffé psychologiquement » et m'a rendu folle. Je me souviens des crises que je faisais dans ma chambre le soir (crises que je fais encore aujourd'hui) où je pleurais et criais tellement j'étais à bout, c'était horrible.

     

    Un évènement particulièrement marquant en rapport avec ce harcèlement?

     

    C'était en janvier 2015 (hé oui, c'est tout récent!), je m'en souviendrai toute ma vie je pense. J'étais assise par terre dans la cour de mon collège avec ma meilleure amie. Un groupe de garçons de ma classe est passé derrière nous et l'un d'eux (qui se trouve être mon cousin éloigné, au passage) a essuyé ses pieds sur ma tête en m’appelant « paillasson ». Ses amis ont rigolé, mon amie ne m'a pas défendue. C'était la première fois qu'on me touchait physiquement pour me rabaisser et j'ai encore du mal aujourd'hui à m'en remettre.

     Comment tes parents ont-ils géré cet harcèlement? Leur en as-tu parlé?

     

    Mon père n'est pas au courant, tandis que ma mère l'a su il y a seulement 1 an et elle ne l'a pas vraiment pris très sérieusement. On en a jamais réellement parlé ensemble. Je sais qu'elle est loin de s'en ficher mais je pense qu'elle ne se rend pas compte à quel point j'en ai souffert.

     Les conséquences sur le plan personnel du harcèlement?

     

     Il y a eu beaucoup de disputes avec mes amis ainsi qu'avec ma mère et ma sœur qui ne comprenaient pas pourquoi j'étais autant sur l'ordinateur ou pourquoi après être allée me balader je revenais avec les yeux embués .. Et c'est tout. Après les cours, je jouais le rôle de la petite fille la plus heureuse au monde donc disons que sur le point personnel, rien n'a vraiment changé. Je devais en tout cas vraiment bien jouer la comédie puisque j'ai fais ça pendant 4 ans.

     

     Quels ont été les répercussions de ce harcèlement du point de vue psychologique pendant que tu le vivais?

     

     Le harcèlement a engendré chez moi une liquidation totale de confiance en moi, des cauchemars, des envies suicidaires, du stress voir même de l'angoisse, un grand mal être, des complexes, de l'isolement .. Aujourd'hui encore je me bats contre tout ça, mais c'est loin d'être facile. Pas un seul jour ne passe sans que j'y pense.

     

    Comment t'en es-tu sortie?

     

    Je m'en suis sortie en parlant de mon histoire comme je le fais là. Je sais que c'est dur d'en parler, de vaincre la honte mais si je n'en avais pas parlé, je crois que je ne serai pas là aujourd'hui pour le faire. Au bout d'un moment, ça devenait trop lourd à porter seule, j'étais détruite, autant physiquement que mentalement.

     

    Penses-tu que l'histoire aurait pu prendre une tournure plus sombre encore?

     

    Évidemment. Plusieurs fois je me suis partie dans la forêt derrière chez moi pour me perdre et mourir et c'est souvent qu'avec une bougie j'appelais des proches décédés le soir, pour leur dire de venir me chercher. C'est assez glauque quand on j'y pense mais j'étais vraiment à bout et je n'arrivais plus à réfléchir.

     

    Qu'est-ce qui t'a aidé à passer au travers?

     

     Je suis passée au travers grâce à mon envie de vivre mieux, à ma sœur et à mes amis d'internet qui m'ont fait comprendre que je pouvais m'en sortir, que je n'étais pas seule et que surtout que je devais me battre.

     

    En France, 1 enfant sur 10 se dit harcelé. 1 enfant sur 2 au collège et au lycée est harcelé. Un message pour toutes les victimes de harcèlement?

     

     Je ne vous dirai pas de ne pas faire attention à ce que les autres pensent de vous, de prendre sur vous ou de voir les bons côtés. Parce que quand j'étais une victime, comme vous, on m'a dit ces phrases toutes faites et je sais très bien que ça n'aide pas.

     Ne vous demandez pas si vous êtes responsables de quoi que ce soit et n'ayez surtout pas honte. Ne vous faites pas de mal car pourquoi se rajouter des problèmes (en se mutilant, par exemple) alors que en avez déjà d'autres ? Hurlez, chantez, écrivez, créez pour vous sentir mieux ! Mais ne vous infligez rien, c'est inutile. Tout le monde a la possibilité de s'en sortir.

     Et surtout, n'hésitez pas à en parler. Personne ne peut vous aidez si personne ne sait ce que vous endurez.

     Si jamais vous voulez parler à quelqu'un, vous pouvez m'écrire à cette adresse : nayll6@hotmail.fr"

     

    Merci à Jelly Beans pour cette interview, à cœur ouvert.

     

     


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